PRESENTATION
Je prélève les manifestations du bleu entre la surface et l'espace lointain, dernière couleur à être réfléchie et dispersée lorsqu'elle traverse les molécules d'eau.
Seuls des indications de profondeur, de température ou du jour, de l'heure sont intégrés au format 16/9.
Claude Monet disait qu'il ne peignait pas un paysage, mais l'espace entre lui et le sujet.
Le sujet c'est la pulsation lumineuse. Le poudroiement de la couleur devient l'expression de la profondeur.
le sentiment de l'infini éclate l'espace pictural classique, sans perspective linéaire ou l'horizon est hors champs, dans l'absence du proche du lointain. Vertige d'un distance indéfinie, d'une profondeur confuse d'un immense espace incontrôlé.
J'utilise l'impression pigmentaire sur papier Fine art qui dématérialise la peinture et touche à l'essence du visible.